turning shadow into transient beauty

by NLC & WOLF CITY

The French duo NLC, Julien ASH and Aloïs L., hase become one of the most prolific projects releasing on attenuation circuit in recent years. Always open for collaboration, for this album they have joined forces with Wolf City. Wolf City is a solo project from the Western suburbs of Paris, exploring the different sides of indie rock through noise, hard, ambient, post rock and even world music.

The songs on this album – because they are actually songs, not tracks, typically starting with spoken parts over ambient musical accompaniment, building up tension with gloomy narratives and then launching into hymnic choruses – take the post-rock approach of Wolf City pretty far into the realm of quasi-metal at certain points. The particular charm of the songwriting on the album is that the classical piano, violin, and flute (and occasional saxophone) so characteristic of NLC's duo sound combine and contrast with the distorted, guitar-driven approach of Wolf City in a way that is so fresh and unexpected that it prevents the rock elements of the album from ever becoming clichéd. Preserved on this album, the surprising collaboration between NLC and Wolf City fortunately becomes a permanent beauty rather than a transient one.

File under: ambient, post-rock, psychedelic

ACU 1081

factory-produced CDr in Digisleeve

Released in 2024

limited to 100 copies

price: 10.00 EUR (excl. postage)

All songs by NLC and WOLF CITY
NLC are Julien ASH and Aloïs L.
Mixed by NLC
Digital Mastering by Aloïs L.
Photos by @johnnysabandonedplaces
Sleeve by Agent MS

nouvelleslecturescosmopolites.bandcamp.com
wolfcity1.bandcamp.com

Also available here: http://www.discogs.com/seller/dependenz?sort=price&sort_order=asc&q=attenuation+circuit&st

Review

BAD ALCHEMY

Mit Turning Shadow into Transient Beauty (ACU 1081, CDr) vertiefen Julien Ash & Aloïs L., kurz NLC, und WOLF CITY ihre Gemeinsamkeiten. Auf Streifzügen durch abandoned places, mit zu melancholischem Gitarrenrock gesprochener Poesie, mit von Saxophon beknarrten, eindringlichen Songs! I always wanted to know / I always wanted to change things. Mit Flöte, Piano und Geige wird es noch elegischer, und 'Blink of an Eye' dehnt sich als fräsendes I'm feeling grey inside über 14 Depro-Minuten. Bis Hörner, Saxophon und dumpfer Bass zuletzt zu 'The Grave' führen, wo jeder Wimpernschlag endet.

www.badalchemy.de

Review

MUZZART

NLC c’est Julien ASH et Aloïs L., de l’autre côté git Wolf City et lui t’façon à part la zik y sait rien faire, pas même passer la serpillère. Alor quand les deux s’allient ils font du sale, du sali joli plutôt, livrant sept airs qu’on se garde dans le crâne. Bref. Turning shadow into transient beauty. Voyons voir, l’ombre est bien là oui, la beauté cohabite. L’éphémère est itou de mise, puisque de toute manière tous ces figurants bien vite créeront autre chose. Pour l’heure The Gardener, défricheur, sème un post-rock où narration et chant-paresse s’englobent d’une instrumentation racée. Ca se cuivre, ça dégaine son allure. Ah ouais putain (la Tourette c’est pas la grippe, ça se soigne pas easy), pas mal le bordel! Il s’emporte un peu, sonique et restant stylé. Il est free mais lui, son réseau est fiable.
Reverse Machine débute bluesy, mais trituré évidemment. Les climats attirent, il y a là une rêverie lo-fi qui embarque son monde. Si tu veux acheter, tu peux déjà le faire à cet endroit. Tu préfères checker? T’inquiètes gros, This Gap Between Us et ses dix minutes de coulées acides expérimentales vont s’en prendre à ton mental. Leur rythme se vivifie, le foutoir se termine dans un allant qui soudain se nuage. Impec. Ce qu’est Gates of Heaven, Gates of Hell, où vocaux quasi rappant (bon, on n’est pas non plus chez Public Enemy hein…) et riffs en colère opèrent de pair et allègrement enfin, c’est peut-être pas le terme adéquat. Des motifs subtils se greffent, il est ici fort agréable de se faire dépayser à chaque truelle sonore.
Tunnel Lights te le rappelle, on à pas affaire à des normaux. C’est bien pour ça que j’en parle. Le morceau déploie une embardée dirty au ralenti, jazzante, venue de nulle part car entièrement inrangeable. Ah et puis tu sais couz’, c’est aussi chopable ici et à modeste coût mais si tu veux on poursuit, Blink of an Eye te retiendra quinze minutes en te servant une noise flemmarde sur tapis de violons (enfin je crois, et pas que d’ailleurs) en élégants torrents. Yo gros, la came est de première main. Blink of an Eye vire à l’orchestral magistral, serti de voix du ciné. Bien joué les boys, The Grave pour fermer la porte dégueule un coulis que le chant rêvassant et des guitares sauvages encerclent. Pour ma part je trace j’ai la dalle à mort, ce Turning Shadow Into Transient Beauty en plus d’être cheap en termes de prix renvoie une différence musicale qui de bout en bout fait du bien, conçue par des êtres dédaigneux tout comme myself des circuits mainstream.

https://www.muzzart.fr/20241222_59353_nouvelles-lectures-cosmopolites-wolf-city-turning-shadow-into-transient-beauty-lotophagus-records-22-decembre-2024/

NLC & WOLF CITY turning shadow into transient beauty cover front
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